jeudi 9 juin 2016

Mort à 25 ans, enterré à 75 ans





Le titre de mon article vous a certainement fait sourire, ou réfléchir : ou les deux. C'est selon.
Et si vous êtes de ceux à qui ce titre à éveiller un brin de réflexion, eh bien vous n'êtes pas loin d'une prise de conscience; gage de la réussite.

Faites un petit exercice en demandant à tous ceux qui vous entoure de noter sur une échelle de 10, l'appréciation qu'il porte à leur travail. Ou encore demander simplement si par un coup de bâton magique, ils deviennent propriétaire d'une fortune importante, ils garderaient encore leur emploi. Vous risquez d'être (dés) agréablement surpris. Beaucoup vous diront que même s'ils ont le millième ou le cent millième de cette fortune, ils mettraient très tôt la clé sous le paillasson et iront voir ailleurs. Eh bien, si vous êtes prêt, à mettre la clé sous le paillasson, pour peu que votre situation financière s'améliore, c'est que vous êtes atteint de ce que j’appellerai volontiers le syndrome du 25/75. Eh bien  le 25/75 c'est le fait de sceller son sort à 25 ans (par exemple) et attendre 75 ans pour voir ce sort devenir une réalité. En d'autres termes c'est choisir sa mort et attendre patiemment que celle ci soit une réalité. Maintenant, écoutez moi bien, parce que ce que je suis sur le point de vous partager va bouleverser le reste de votre vie.
  Si vous n'êtes pas capable de prendre plaisir à travailler, si pour vous travail = souffrance, corvée, pénibilité... Si votre travail ne vous fait pas rêver, ou tout au moins espérer. Eh bien, cherchez à le transformer ou quittez dès maintenant si non vous risquez de le regretter pour le restant de votre vie.
Vous avez 8h à passer au travail, soit le tiers de votre vie, eh bien si ce dernier (travail), ne vous réjouir pas, n'attendez plus, changez le, ou ajoutez y les éléments qui vous permettront de vous épanouir, sinon, au soir de votre vie, il ne vous restera plus qu'à regretter. Arrêtez de vous plaindre de votre travail. Transformez votre JOB : Just over broke en JOB : Joy on board.

                                                                                                                                   Tout va bien,

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